La durée de ce travail
Finie, donc, ou presque, l’époque où l’homéopathe gardait son patient deux heures dans son cabinet, consultant deux ou trois malades quotidiennement, à l’exception, aujourd’hui encore, sûrement, de quelques-uns, sur le sol français,héritiers de ces nobles principes dépourvus de toute rentabilité financière et épuisants. Jadis, l’homéopathe délivrait son traitement après une mûre recherche de ce précieux similimum. […]